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  ARM Give a man a fire and he's warm for a day, but set fire to him and he's warm for the rest of his life (Terry Pratchett, Jingo)

Communauté germanophone: une coalition gouvernementale à deux ou à trois?

([Politique] 2024-06-01 (GrenzEcho))


Quelle coalition dirigera la Communauté germanophone à l’avenir? Telle était la question qui se posait au lendemain des élections du Parlement de la Communauté germanophone dimanche dernier. Le vainqueur Oliver Paasch (ProDG) avait préalablement fait part de son intention de mener des entretiens exploratoires avec plusieurs partis potentiels. Quelques jours après les élections, le président du ProDG et celui du parti chrétien-démocrate CSP ont émis un communiqué de presse conjoint indiquant que les mandataires élus avaient débuté des entretiens en vue de la formation d’une éventuelle coalition.

Il ressort de ces discussions qu’« il n’existe pas d’obstacle insurmontable à une telle coalition. Les deux parties ont estimé que les points de convergence sur le fond sont suffisants pour poursuivre les discussions sur une coalition dans les jours à venir », selon le communiqué de presse. Les deux principales formations politiques de la DG (Communauté germanophone) disposent conjointement de 13 sièges : 8 pour ProDG et 5 pour le CSP. Sur cette base, les têtes de listes Oliver Paasch et Jérôme Franssen souhaitent proposer à leurs instances de former ensemble le noyau d’une future coalition. Ils ont également indiqué que des entretiens relatifs à un accord de coalition auraient lieu au cours des jours à venir. « À cet effet, les questions abordées portent essentiellement sur le fond de l’accord de coalition. Le CSP et ProDG veulent mener ensemble des discussions honnêtes et ouvertes avec le SP, le PFF et Ecolo pour éventuellement ouvrir leur majorité à un troisième partenaire. » Oliver Paasch et Jérôme Franssen ont indiqué qu’« il est souhaitable, dans la perspective des négociations à venir sur la trajectoire budgétaire à Bruxelles, de mettre en place le plus rapidement possible un gouvernement commun capable d’agir pour notre communauté. » Le communiqué de presse ne fait toutefois pas mention d’éventuels entretiens en vue d’une coalition avec Vivant. Préalablement aux élections, les deux vainqueurs avaient déjà exclu toute collaboration avec ce parti, pressentie particulièrement difficile compte tenu du manque de points de convergence.

Interrogé lundi après-midi par le quotidien GrenzEcho, Gregor Freches, tête de liste du parti libéral PFF, a déclaré ne pas avoir encore reçu d’invitation. Toutefois, il se tiendrait à la disposition des partis en vue de discussions. « Outre ProDG, nous sommes le seul parti à ne pas avoir perdu lors de ce scrutin. Il convient d’en tirer les conclusions nécessaires », a-t-il confié. Les libéraux germanophones seraient ainsi disposés à rejoindre une coalition, « mais nous ne voulons pas d’une alliance à n’importe quel prix. »

ProDG arrive largement en tête des élections du Parlement de la Communauté germanophone de dimanche, réalisant une progression de presque 6 points de pourcentage et 29,1 pour cent des voix qui a permis à la formation du ministre-président sortant, Oliver Paasch, de passer de 6 à 8 de sièges. En revanche lors des élections communautaires, le CSP avait perdu 3,4 pour cent, tombant sous la barre des 20 pour cent, avec 19,8 pour cent. Lors des élections de 2019, le CSP avait décroché 6 sièges, contre 5 actuellement.



Brief History Of Linux (#22)

RMS had a horrible, terrible dream set in 2020 in which all of society was
held captive by copyright law. In particular, everyone's brain waves were
monitored by the US Dept. of Copyrights. If your thoughts referenced a
copyrighted idea, you had to pay a royalty. To make it worse, a handful of
corporations held fully 99.9% of all intellectual property rights.

Coincidentally, Bill Gates experienced a similar dream that same night. To
him, however, it was not a horrible, terrible nightmare, but a wonderful
utopian vision. The thought of lemmings... er, customers paying a royalty
everytime they hummed a copyrighted song in their head or remembered a
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RMS, waking up from his nightmare, vowed to fight the oncoming Copyright
Nightmare. The GNU Project was born. His plan called for a kernel,
compiler, editor, and other tools. Unfortunately, RMS became bogged down
with Emacs that the kernel, HURD, was shoved on the back burner. Built
with LISP (Lots of Incomprehensible Statements with Parentheses), Emacs
became bloated in a way no non-Microsoft program ever has. Indeed, for a
short while RMS pretended that Emacs really was the GNU OS kernel.