News: 2022-06-28T06_33_09Z

  ARM Give a man a fire and he's warm for a day, but set fire to him and he's warm for the rest of his life (Terry Pratchett, Jingo)

Ce qu’il faut savoir sur l’Open Programmable Infrastructure (OPI)

(2022/06/28)


Ce qu’il faut savoir sur l’Open Programmable Infrastructure (OPI)

mardi 28 juin 2022

La Fondation Linux officialise son nouveau projet OPI (Open Programmable Infrastructure). Objectif : favoriser un écosystème ouvert, axé sur la communauté et basé sur des normes, pour les architectures basées sur les technologies DPU et IPU.

La Fondation Linux lance un nouveau projet d’infrastructure programmable ouverte visant à créer des normes ouvertes pour une nouvelle catégorie d’infrastructures dites "Cloud-native". Il s’agit de l’OPI ( [1]Open Programmable Infrastructure ).

L’OPI entend faciliter " la simplification des API de réseau, de stockage et de sécurité dans les applications afin de permettre des applications plus portables et plus performantes dans le cloud et le centre de données à travers DevOps, SecOps et NetOps ".

" Les DPU et les IPU sont de plus en plus utilisés pour prendre en charge les capacités de réseau à haut débit et le traitement des paquets pour des applications telles que la 5G, l’IA/ML, le Web3, la cryptographie ", estime la Fondation.

Le projet, placé sous licence Apache 2.0, est articulé en open source [2]sur Github . Il vise à créer un écosystème ouvert basé sur des normes et dirigé par la communauté pour les technologies de type DPU/IPU. Il entend également créer un cadre et une architecture indépendants des fournisseurs pour les piles logicielles basées sur les DPU/IPU.

Pas question de réinventer la roue : OPI veut réutiliser API existantes ou définir un ensemble de nouvelles API communes pour les technologies de type DPU/IPU, si nécessaire. OPI devra fournir des exemples de mise en œuvre pour valider les architectures/API. Enfin, le projet devra également permettre la création d’un écosystème d’applications open source , mais aussi intégrer les projets open source existants alignés sur la même vision, comme le noyau Linux.

Les [3]membres fondateurs de l’OPI sont Dell Technologies, F5, Intel, Keysight Technologies, Marvell, NVIDIA et Red Hat. De plus, [4]NVIDIA DOCA , un framework open source pour le DPU BlueField de NVIDIA, sera mis à disposition de l’OPI pour aider les développeurs à créer des applications qui peuvent être déchargées, accélérées et isolées sur des DPU, des IPU et d’autres plates-formes matérielles.

[5]



[1] https://opiproject.org

[2] https://github.com/opiproject/opi

[3] https://opiproject.org

[4] https://developer.nvidia.com/networking/doca

[5] https://www.toolinux.com/?opi-open-programmable-infrastructure#forum



Oxygen is a very toxic gas and an extreme fire hazard. It is fatal in
concentrations of as little as 0.000001 p.p.m. Humans exposed to the
oxygen concentrations die within a few minutes. Symptoms resemble very
much those of cyanide poisoning (blue face, etc.). In higher
concentrations, e.g. 20%, the toxic effect is somewhat delayed and it
takes about 2.5 billion inhalations before death takes place. The reason
for the delay is the difference in the mechanism of the toxic effect of
oxygen in 20% concentration. It apparently contributes to a complex
process called aging, of which very little is known, except that it is
always fatal.

However, the main disadvantage of the 20% oxygen concentration is in the
fact it is habit forming. The first inhalation (occurring at birth) is
sufficient to make oxygen addiction permanent. After that, any
considerable decrease in the daily oxygen doses results in death with
symptoms resembling those of cyanide poisoning.

Oxygen is an extreme fire hazard. All of the fires that were reported in
the continental U.S. for the period of the past 25 years were found to be
due to the presence of this gas in the atmosphere surrounding the buildings
in question.

Oxygen is especially dangerous because it is odorless, colorless and
tasteless, so that its presence can not be readily detected until it is
too late.
-- Chemical & Engineering News February 6, 1956