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  ARM Give a man a fire and he's warm for a day, but set fire to him and he's warm for the rest of his life (Terry Pratchett, Jingo)

Ce Japonais rêvait de devenir un animal, il s’est transformé en chien

(2022-05-27_12-08-00)


Toko-san rêvait d’être un animal, alors il est devenu un collie. Mais si, vous savez, cette race de chien dont le plus célèbre représentant est Lassie. Et parce que, quand on aime, on ne compte pas, le Japonais a dépensé plus de 14.000 euros pour se transformer en son chien préféré.

Depuis quelques semaines, un Japonais fait le buzz sur Internet. Toko-san, dont la véritable identité n’a pas été révélée, est devenu, depuis peu, un chien. Un collie, plus exactement. Pour ce faire, il a commandé un costume hyperréaliste à la société Zeppet, spécialiste des costumes qui travaille notamment pour le cinéma et la télévision. Coût de cette création sur mesure? Deux millions de yens, soit plus de 14.000 euros.

Amoureux des animaux, Toko-san voulait devenir lui-même un animal et a cherché lequel il pouvait incarner. “J’aime les animaux à quatre pattes, particulièrement ceux qui sont mignons. Parmi eux, je me suis dit qu’un animal dont la taille est proche de la mienne était la meilleure solution pour que le rendu final soit réaliste. J’ai donc décidé de devenir un chien”, a-t-il expliqué au média local Mynavi.

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Toko-san a déboursé plus de 14.000 euros pour faire fabriquer un costume de collie, sa race de chien préférée. © Blast INC / Zeppet

40 jours de travail



Toko-san a publié sa première vidéo sur Youtube en avril dernier. On le voit déguisé en collie en train de saluer la caméra, de se coucher et de se rouler par terre. Comme un vrai chien. Ou presque. Depuis, le Japonais a partagé sept autres vidéos dans lesquelles on peut le voir tour à tour jouer au ping-pong ou avec un animal en peluche, le tout, naturellement, dans son costume de chien.

Selon le fabricant du costume, il a fallu quarante jours pour achever son chef-d’œuvre. Pour le rendre le plus réaliste possible, l’équipe a dû étudier très attentivement l’ossature des collies et a analysé des centaines de photos de chiens pour reproduire le long pelage qui les caractérise de la manière la plus réaliste possible.

Toko-san rêvait de devenir un animal, alors il est devenu un collie, comme Lassie. © Blast INC / Zeppet

La confection du costume a nécessité 40 jours de travail. © Blast INC / Zeppet



On this morning in August when I was 13, my mother sent us out pick
tomatoes. Back in April I'd have killed for a fresh tomato, but in August
they are no more rare or wonderful than rocks. So I picked up one and threw
it at a crab apple tree, where it made a good *splat*, and then threw a tomato
at my brother. He whipped one back at me. We ducked down by the vines,
heaving tomatoes at each other. My sister, who was a good person, said,
"You're going to get it." She bent over and kept on picking.
What a target! She was 17, a girl with big hips, and bending over,
she looked like the side of a barn.
I picked up a tomato so big it sat on the ground. It looked like it
had sat there a week. The underside was brown, small white worms lived in it,
and it was very juicy. I stood up and took aim, and went into the windup,
when my mother at the kitchen window called my name in a sharp voice. I had
to decide quickly. I decided.
A rotten Big Boy hitting the target is a memorable sound, like a fat
man doing a belly-flop. With a whoop and a yell the tomatoee came after
faster than I knew she could run, and grabbed my shirt and was about to brain
me when Mother called her name in a sharp voice. And my sister, who was a
good person, obeyed and let go -- and burst into tears. I guess she knew that
the pleasure of obedience is pretty thin compared with the pleasure of hearing
a rotten tomato hit someone in the rear end.
-- Garrison Keillor, "Lake Wobegon Days"