Le premier smartphone à 8 ans: la “puberté numérique” de nos enfants apparaît de plus en plus tôt
(2022-05-21_07-01-04 (VRT))
- Reference: 2022-05-21_07-01-04_le-premier-smartphone-a-8-ans-la-puberte
- News link: https://www.7sur7.be/famille/le-premier-smartphone-a-8-ans-la-puberte-numerique-de-nos-enfants-apparait-de-plus-en-plus-tot~a032a7f3/
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Selon une étude de [1]Mediawijs et [2]Mediaraven relayée par la VRT, les enfants reçoivent leur premier smartphone de plus en plus tôt: à 8 ans en moyenne. L’accès aux réseaux sociaux, comme TikTok et Instagram, suit également la même tendance.
En 2018, un enfant recevait son premier GSM à 12 ans en moyenne, à son entrée en école secondaire. Deux ans plus tard, l’âge moyen est descendu à 9 ans. En 2022, à 8 ans.
Selon Mediawijs, le centre flamand pour l’éducation au numérique et aux médias, les 6-8 ans regardent principalement des vidéos en ligne, écoutent de la musique et jouent à des jeux. À partir de 8-10 ans, s’ajoutent les devoirs en ligne et la recherche d’informations.
Les enfants commencent surtout de plus en plus tôt à devenir utilisateurs des réseaux sociaux: dès l’âge de 10 ans, même si l’âge limite pour la plupart de ces applications est officiellement de 13 ans. Celles dont ils sont le plus friands? TikTok, Snapchat, WhatsApp et, un peu plus tard, Instagram. De quoi faire dire aux deux organisations que la “puberté numérique” apparaît de plus en plus tôt chez nos enfants.
L’étude regrette par ailleurs que, tant à l’école qu’à la maison, trop peu d’attention est accordée à l’utilisation des réseaux sociaux et aux dangers qui y sont associés. De nombreux enfants de l’école primaire indiquent en effet n’avoir jamais reçu d’informations ou de prévention sur tout ce qui touche au numérique: comment savoir s’arrêter à temps, s’assurer de sa confidentialité en ligne, reconnaître les fake news, réagir au cyberharcèlement, à des messages à caractère sexuel, etc.
Mediawijs ne veut pas se focaliser sur la limite d’âge de 13 ans, mais plaide plutôt pour une “approche beaucoup plus efficace concernant les contenus indésirables”. “Nous voulons encourager tout le monde, enseignants et parents, à parler aux enfants et à leur poser occasionnellement la question: ‘comment c’était en ligne?’. Comme on leur pose la question: ‘comment c’était à l’école?’”, conclut l’organisation.
[3]Un smartphone pour votre enfant ? Voici comment éviter une mauvaise surprise sur la facture
[1] https://www.mediawijs.be/nl
[2] https://www.mediaraven.be/
[3] https://www.7sur7.be/home/un-smartphone-pour-votre-enfant-voici-comment-eviter-une-mauvaise-surprise-sur-la-facture~a9c91732/
En 2018, un enfant recevait son premier GSM à 12 ans en moyenne, à son entrée en école secondaire. Deux ans plus tard, l’âge moyen est descendu à 9 ans. En 2022, à 8 ans.
Selon Mediawijs, le centre flamand pour l’éducation au numérique et aux médias, les 6-8 ans regardent principalement des vidéos en ligne, écoutent de la musique et jouent à des jeux. À partir de 8-10 ans, s’ajoutent les devoirs en ligne et la recherche d’informations.
Les enfants commencent surtout de plus en plus tôt à devenir utilisateurs des réseaux sociaux: dès l’âge de 10 ans, même si l’âge limite pour la plupart de ces applications est officiellement de 13 ans. Celles dont ils sont le plus friands? TikTok, Snapchat, WhatsApp et, un peu plus tard, Instagram. De quoi faire dire aux deux organisations que la “puberté numérique” apparaît de plus en plus tôt chez nos enfants.
Poser la question: “comment c’était en ligne?”
L’étude regrette par ailleurs que, tant à l’école qu’à la maison, trop peu d’attention est accordée à l’utilisation des réseaux sociaux et aux dangers qui y sont associés. De nombreux enfants de l’école primaire indiquent en effet n’avoir jamais reçu d’informations ou de prévention sur tout ce qui touche au numérique: comment savoir s’arrêter à temps, s’assurer de sa confidentialité en ligne, reconnaître les fake news, réagir au cyberharcèlement, à des messages à caractère sexuel, etc.
Mediawijs ne veut pas se focaliser sur la limite d’âge de 13 ans, mais plaide plutôt pour une “approche beaucoup plus efficace concernant les contenus indésirables”. “Nous voulons encourager tout le monde, enseignants et parents, à parler aux enfants et à leur poser occasionnellement la question: ‘comment c’était en ligne?’. Comme on leur pose la question: ‘comment c’était à l’école?’”, conclut l’organisation.
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[3]Un smartphone pour votre enfant ? Voici comment éviter une mauvaise surprise sur la facture
[1] https://www.mediawijs.be/nl
[2] https://www.mediaraven.be/
[3] https://www.7sur7.be/home/un-smartphone-pour-votre-enfant-voici-comment-eviter-une-mauvaise-surprise-sur-la-facture~a9c91732/