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Un deuxième cas de variole du singe détecté en Belgique, annonce Van Ranst

(2022-05-20_09-13-00 (VRT NWS))


MISE À JOUR Un deuxième cas de contamination au virus de la variole du singe a été détecté cette nuit, annonce le virologue Marc Van Ranst sur Twitter. Il s’agit d’un homme originaire du Brabant flamand. Un premier cas avait déjà été confirmé jeudi. Selon la VRT, les deux personnes contaminées auraient participé à la même soirée.

L’homme n’est pas gravement malade, a précisé Marc Van Ranst. Son infection a été découverte parce qu’il avait des lésions bulleuses sur les mains.

Lire aussi



[1]

Un premier cas de variole du singe confirmé en France

[2]

Des cas de variole du singe détectés en Europe et Amérique du Nord: faut-il s’en inquiéter?

Un premier cas de cette maladie, peu fréquente et habituellement endémique d’Afrique de l’Ouest, avait été détecté jeudi soir à Anvers. Le nouveau cas a peut-être un lien avec ce premier patient: ils se trouvaient à la même fête. Toutefois, ce lien doit encore faire l’objet d’une étude plus approfondie.

L’Institut de médecine tropicale a déclaré que, sur base des données actuelles, les risques de propagation du virus à la population générale semblaient faibles. “En tant que scientifiques et médecins, nous sommes sur nos gardes et suivons la situation de près”, a-t-il déclaré.

Les autorités se réuniront vendredi vers midi pour discuter d’une approche belge contre la propagation du virus, a indiqué l’Agence sanitaire flamande.

Marc Van Ranst @vanranstmarc

[3]Een tweede geval van het apenpokkenvirus werd vannacht gediagnosticeerd op ons labo in Leuven in een staal van een man uit Vlaams-Brabant. <br><br>Mensen die bij zichzelf letsels zoals op deze foto herkennen, kunnen best contact opnemen met hun arts. <a href="https://t.co/ptGbQ9jAPf">pic.twitter.com/ptGbQ9jAPf</a>

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Un premier cas jeudi



Un premier cas de contamination au virus de la variole du singe avait déjà été détecté jeudi en Belgique, a indiqué Isabel Brosius, docteur à l’Institut de médecine tropicale d’Anvers, à la VRT. [5]Plusieurs dizaines de cas suspects ou confirmés de variole du singe ont été détectés depuis début mai en Europe et en Amérique du Nord , laissant craindre un début de propagation de cette maladie endémique en Afrique de l’Ouest.

“Il s’agit d’une personne qui s’est signalée auprès de nous à Anvers. Des échantillons ont été prélevés et envoyés à un laboratoire de référence aux Pays-Bas. Nous avons eu la confirmation en fin de journée qu’il s’agit du virus de la variole du singe. La personne en question n’est pas très malade”, a expliqué Isabel Brosius.

Il y a également un deuxième cas suspect. Le partenaire de la personne infectée présente des symptômes similaires, mais il reste à confirmer qu’il s’agit bien du virus de la variole du singe.

La personne infectée doit maintenant s’isoler. “D’après les données actuelles, la transmissibilité du virus entre les personnes est limitée. En principe, un contact étroit et prolongé est nécessaire”, a déclaré Mme Brosius. “La probabilité d’une propagation parmi la population générale est plutôt faible, mais nous surveillons la situation de près”, a-t-il poursuivi.

“Nous devons être vigilants”, a déclaré Joris Moonens de l’Agence pour les soins et la santé. M. Moonens indique également que les infections se produisent principalement par contact étroit. “Nous ne sommes pas encore inquiets pour la population générale”. Demain, le groupe d’experts en évaluation des risques se réunira pour discuter d’un plan d’approche, rapporte-t-il. Selon M. Moonens, une étude de contact des personnes infectées sera effectuée.

Qu’est-ce que la variole du singe?



Le virus de la variole du singe est une infection virale rare qui ne se propage pas rapidement d’une personne à l’autre. Les symptômes recouvrent fièvre, mal de tête, douleurs musculaires, mal de dos, ganglions lymphatiques enflés, frissons et fatigue. Après quelques jours, des éruptions cutanées peuvent survenir, souvent sur le visage, et se répandre à d’autres parties du corps dont les parties génitales, des cloques rondes remplies de pus qui se dessèchent et deviennent des croûtes.

Il n’existe pas de traitement pour la variole du singe, qui se transmet par contact avec une personne atteinte ou ses liquides organiques, dont la salive. Cette infection virale se guérit d’elle-même. La période d’incubation (le temps entre l’infection et les symptômes) est de 5 à 21 jours.

Le virus très rare a été identifié pour la première fois au Royaume-Uni en 2018. Il se trouve généralement dans les régions reculées d’Afrique centrale et occidentale, près des forêts tropicales humides.

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[6]Des cas de variole du singe détectés en Europe et Amérique du Nord: faut-il s’en inquiéter?

[7]Un premier cas suspect de variole du singe détecté en France



[1] https://www.7sur7.be/monde/un-premier-cas-de-variole-du-singe-confirme-en-france~a31ded30/

[2] https://www.7sur7.be/sante/des-cas-de-variole-du-singe-detectes-en-europe-et-amerique-du-nord-faut-il-sen-inquieter~af4805c7/

[3] https://twitter.com/vanranstmarc/statuses/1527543318971834373

[4] https://www.7sur7.be/belgique/un-deuxieme-cas-de-variole-du-singe-detecte-en-belgique-annonce-van-ranst~adb92054/#

[5] https://www.7sur7.be/sante/des-cas-de-variole-du-singe-detectes-en-europe-et-amerique-du-nord-faut-il-sen-inquieter~af4805c7/

[6] https://www.7sur7.be/sante/des-cas-de-variole-du-singe-detectes-en-europe-et-amerique-du-nord-faut-il-sen-inquieter~af4805c7/

[7] https://www.7sur7.be/monde/un-premier-cas-suspect-de-variole-du-singe-detecte-en-france~a31ded30/



The number of arguments is unimportant unless some of them are correct.
-- Ralph Hartley