Pourquoi il semble peu probable d’avoir une Première ministre en 2024
(2022-05-18_10-37-00 (DH))
- Reference: 2022-05-18_10-37-00_pourquoi-il-semble-peu-probable-davoir-u
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Alors qu’Élisabeth Borne vient d’être nommée à la tête du gouvernement français, nos confrères de la DH ont évalué les chances que la Belgique se dote d’une Première ministre après les prochaines élections législatives, en 2024.
Sophie Wilmès (MR) - qui a occupé le poste à la suite de la nomination de Charles Michel à la tête de l’Europe -, Annelies Verlinden (CD&V), Petra De Sutter (Groen) ou encore la socialiste Caroline Désir sont souvent évoquées comme potentielles candidates au “16". Selon Pierre Vercauteren, professeur en sciences politiques à l’UCLouvain, il y a cependant peu de chances de voir l’une de ces femmes politiques prendre la tête du gouvernement belge.
En cause: la tradition qui veut que ce sont les présidents de parti qui négocient après les élections et que l’un d’eux devient formateur, et donc Premier ministre. Or, tant du côté francophone que néerlandophone, tous les chefs de parti sont aujourd’hui... des hommes, à l’exception de Rajae Maouane, coprésidente d’Ecolo.
[1]L’absence de ministre belge des Affaires étrangères se ressent
[1] https://www.7sur7.be/belgique/labsence-de-ministre-belge-des-affaires-etrangeres-se-ressent~a2ec3c09/
Sophie Wilmès (MR) - qui a occupé le poste à la suite de la nomination de Charles Michel à la tête de l’Europe -, Annelies Verlinden (CD&V), Petra De Sutter (Groen) ou encore la socialiste Caroline Désir sont souvent évoquées comme potentielles candidates au “16". Selon Pierre Vercauteren, professeur en sciences politiques à l’UCLouvain, il y a cependant peu de chances de voir l’une de ces femmes politiques prendre la tête du gouvernement belge.
En cause: la tradition qui veut que ce sont les présidents de parti qui négocient après les élections et que l’un d’eux devient formateur, et donc Premier ministre. Or, tant du côté francophone que néerlandophone, tous les chefs de parti sont aujourd’hui... des hommes, à l’exception de Rajae Maouane, coprésidente d’Ecolo.
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