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Le Café Leffe ne devra rembourser que la moitié de ses loyers impayés pendant la crise sanitaire

(2022-05-11_10-56-00 (La DH, Bruzz))


Bruxelles Durant les confinements, le Café Leffe ne pouvait plus payer les 11.000 euros de loyer mensuel au propriétaire AB InBev. Le groupe brassicole a donc intenté un procès à l’exploitant du café, mais le tribunal a finalement jugé qu’aucune des deux parties ne devait supporter totalement les frais des impayés. Le Café Leffe devra seulement rembourser la moitié des loyers en retard à AB InBev.

Le jugement a été rendu public par La DH ce mardi. La base du litige entre le Café Leffe et AB InBev est la pandémie de coronavirus et les deux confinements, qui ont obligé les exploitants de café à fermer leurs portes pendant de longs mois. Malgré les aides du gouvernement, Christina Giubbi, gérante du Café Leffe au Sablon, n’était plus en mesure de payer les 11.000 euros de loyer mensuel au groupe brassicole. Elle avait donc des loyers en retard pour les mois de mars-juin 2020 et octobre-juin 2021.

AB InBev a donc porté l’affaire devant le juge de paix. La brasserie souhaitait résilier le bail en plus de percevoir le loyer et le dépôt de garantie, ainsi qu’une indemnité pour la période d’inoccupation des locaux dans l’attente de nouveaux locataires. Mais le juge de paix n’a pas accédé à ces demandes. Le tribunal a estimé que “la résiliation du bail et l’expulsion du locataire seraient totalement injustifiées et abusives, excessives et disproportionnées”, indique La DH.

Concernant les arriérés de loyer, le juge a estimé qu’aucune des deux parties ne devait supporter totalement les “conséquences de la pandémie”, et donc les frais des loyers impayés. Il a donc été décidé que les deux parties participent aux frais à hauteur de 50% chacune.

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Long ago, in a finite state far away, there lived a JOVIAL
character named Jack. Jack and his relations were poor. Often their
hash table was bare. One day Jack's parent said to him, "Our matrices
are sparse. You must go to the market to exchange our RAM for some
BASICs." She compiled a linked list of items to retrieve and passed it
to him.
So Jack set out. But as he was walking along a Hamilton path,
he met the traveling salesman.
"Whither dost thy flow chart take thou?" prompted the salesman
in high-level language.
"I'm going to the market to exchange this RAM for some chips
and Apples," commented Jack.
"I have a much better algorithm. You needn't join a queue
there; I will swap your RAM for these magic kernels now."
Jack made the trade, then backtracked to his house. But when
he told his busy-waiting parent of the deal, she became so angry she
started thrashing.
"Don't you even have any artificial intelligence? All these
kernels together hardly make up one byte," and she popped them out the
window...
-- Mark Isaak, "Jack and the Beanstack"