DJ Lex: à peine 13 ans et déjà à l’affiche de Tomorrowland
([Culture et Médias, Sorties] 2025-07-01 (Het Nieuwsblad))
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- News link: https://daardaar.be/rubriques/culture-et-medias/dj-lex-a-peine-13-ans-et-deja-a-laffiche-de-tomorrowland/
- Source link: https://www.nieuwsblad.be/binnenland/nog-te-jong-voor-het-festival-toch-prijkt-z-n-naam-op-de-affiche-lex-13-draait-deze-zomer-op-tomorrowland/76451882.html
Lex Verwaijen est officiellement trop jeune pour mettre les pieds à Tomorrowland (il faut avoir 18 ans accomplis ou dans l’année), mais qu’à cela ne tienne, il fait mieux : figurer à l’affiche du festival ! Il fait partie d’un groupe de dix jeunes talents âgés de 10 à 17 ans formés à la Tomorrowland Academy, l’école de DJing et de production musicale fondée par les organisateurs. La relève de Charlotte de Witte, Amelie Lens, Lost Frequencies ou Dimitri Vegas & Like Mike s’illustrera ainsi sur les scènes Cage, Rave Cave et Rise, réparties sur les deux week-ends de l’événement.
C’est sur la scène Rise que Lex se produira le dimanche 27 juillet à 13h30. « Je serai sûrement un peu nerveux, mais c’est un rêve qui devient réalité », confie le jeune DJ, tout sourire. En maternelle et en première primaire, Lex a dû suivre ses cours partiellement à distance via Bednet, un organisme spécialisé dans l’école à domicile, en raison de problèmes cardiaques précoces qui ont nécessité plusieurs opérations. « Il ne pouvait pas aller à l’école tous les jours, explique sa maman Sarah Vriens. Mais déjà à cette époque, il disait vouloir devenir DJ. Quand il a pu retourner en classe, un monde s’est ouvert à lui. »
A relire
[1]Festivals : des gobelets de bière qui laissent un goût amer
Chez les Verwaijen, la passion de la musique électronique ne sort pas de nulle part. « Son papa et moi allons chaque année à Tomorrowland. Quand Lex était encore tout petit, on l’emmenait aussi près que possible de l’entrée du festival : il était fasciné par l’ambiance. »
Il y a deux ans, Lex a acheté sa première table de mixage. « Cet été-là, j’ai suivi des cours à la Tomorrowland Academy, chaque semaine. Je les ai payés avec l’argent de ma communion », raconte-t-il. Quelques mois plus tard, il a poursuivi sa formation au Carré, et il a déjà enchaîné quelques sets dans des clubs comme le Versuz ou l’Ikon.
Son passage à Tomorrowland, il le doit à un autre habitant de Schoten : Frank Van Herwegen, alias DJ F.R.A.N.K., connu notamment pour Summerjam 2003 et pour ses sets sur Qmusic. « Je lui ai envoyé un message sur Instagram pour lui demander s’il voulait être mon 100e abonné », explique Lex. « Il a accepté, puis on s’est rencontrés à Barazza, à Ekeren. Deux mois plus tard, il m’a proposé de jouer à Tomorrowland. Il cherchait deux jeunes talents pour partager la scène avec lui. J’ai bien sûr accepté. Depuis, Frank est mon modèle. »
Le fait d’être trop jeune pour être là « rend les choses encore plus spéciales », sourit Lex. « En principe, je n’ai pas le droit d’être sur le site, mais j’espère pouvoir aller jeter un coup d’œil à la Mainstage ! »
S’il rêve déjà d’une carrière internationale ? « Pas vraiment de devenir riche, non. Je veux juste rendre les gens heureux avec ma musique. »
A relire
[2]Les femmes gagnent du terrain dans les festivals
[1] https://daardaar.be/rubriques/culture-et-medias/festivals-des-gobelets-de-biere-qui-laissent-un-gout-amer/
[2] https://daardaar.be/rubriques/culture-et-medias/les-femmes-gagnent-du-terrain-dans-les-festivals/
C’est sur la scène Rise que Lex se produira le dimanche 27 juillet à 13h30. « Je serai sûrement un peu nerveux, mais c’est un rêve qui devient réalité », confie le jeune DJ, tout sourire. En maternelle et en première primaire, Lex a dû suivre ses cours partiellement à distance via Bednet, un organisme spécialisé dans l’école à domicile, en raison de problèmes cardiaques précoces qui ont nécessité plusieurs opérations. « Il ne pouvait pas aller à l’école tous les jours, explique sa maman Sarah Vriens. Mais déjà à cette époque, il disait vouloir devenir DJ. Quand il a pu retourner en classe, un monde s’est ouvert à lui. »
A relire
[1]Festivals : des gobelets de bière qui laissent un goût amer
Chez les Verwaijen, la passion de la musique électronique ne sort pas de nulle part. « Son papa et moi allons chaque année à Tomorrowland. Quand Lex était encore tout petit, on l’emmenait aussi près que possible de l’entrée du festival : il était fasciné par l’ambiance. »
Il y a deux ans, Lex a acheté sa première table de mixage. « Cet été-là, j’ai suivi des cours à la Tomorrowland Academy, chaque semaine. Je les ai payés avec l’argent de ma communion », raconte-t-il. Quelques mois plus tard, il a poursuivi sa formation au Carré, et il a déjà enchaîné quelques sets dans des clubs comme le Versuz ou l’Ikon.
Objectif Mainstage
Son passage à Tomorrowland, il le doit à un autre habitant de Schoten : Frank Van Herwegen, alias DJ F.R.A.N.K., connu notamment pour Summerjam 2003 et pour ses sets sur Qmusic. « Je lui ai envoyé un message sur Instagram pour lui demander s’il voulait être mon 100e abonné », explique Lex. « Il a accepté, puis on s’est rencontrés à Barazza, à Ekeren. Deux mois plus tard, il m’a proposé de jouer à Tomorrowland. Il cherchait deux jeunes talents pour partager la scène avec lui. J’ai bien sûr accepté. Depuis, Frank est mon modèle. »
Le fait d’être trop jeune pour être là « rend les choses encore plus spéciales », sourit Lex. « En principe, je n’ai pas le droit d’être sur le site, mais j’espère pouvoir aller jeter un coup d’œil à la Mainstage ! »
S’il rêve déjà d’une carrière internationale ? « Pas vraiment de devenir riche, non. Je veux juste rendre les gens heureux avec ma musique. »
A relire
[2]Les femmes gagnent du terrain dans les festivals
[1] https://daardaar.be/rubriques/culture-et-medias/festivals-des-gobelets-de-biere-qui-laissent-un-gout-amer/
[2] https://daardaar.be/rubriques/culture-et-medias/les-femmes-gagnent-du-terrain-dans-les-festivals/